Cinéma & Audiovisuel

Cinéma & AudiovisuelPar A PLUS FINANCE admin

L’ARNACOEUR. A Plus Image a participé au financement du film L’Arnacoeur qui, avec Romain Duris et Vanessa Paradis en têtes d’affiche, a réuni plus de 3.5 millions de spectateurs depuis sa sortie en 2010. Cette œuvre est présentée à titre illustratif et ne préjuge pas des résultats futurs des œuvres financées par les SOFICA.

HOLLYWOO. Avec le soutien de Jamel Debbouze en tête d’affiche, cette comédie écrite et jouée par l’humoriste Florence Foresti a dépassé les 2 millions d’entrées en France. Cette œuvre est présentée à titre illustratif et ne préjuge pas des résultats futurs des œuvres financées par les SOFICA.

INTOUCHABLES. Via une filiale de développement, les Sofica ont contribué à l’écriture de la comédie à succès Intouchables. Avec Omar Sy et François Cluzet, le film a rassemblé plus de 19 millions de spectateurs sur le territoire français. Cette œuvre est présentée à titre illustratif et ne préjuge pas des résultats futurs des œuvres financées par les SOFICA.

A Plus Finance assiste les sociétés du secteur du cinéma et de l’audiovisuel dans leurs activités financières, juridiques et administratives. A ce titre, A Plus Finance a conclu avec chaque société une convention d’assistance spécifique pour répondre au mieux à leurs besoins.

Sofica

Les investissements réalisés par les SOFICA A Plus Image/SG IMAGE visent un équilibre entre financement d’œuvres longs métrages (cinéma) et financement d’œuvres audiovisuelles (télévision) comprenant entre autres documentaires, séries et œuvres d’animation. Une quote-part des actifs est investie dans le développement via la création de sociétés de production et de réalisation d’œuvres cinématographiques ou audiovisuelles dédiées.

Les SOFICA A Plus Image/SG IMAGE investissent à travers des contrats d’association à la production ou au développement. Elles interviennent auprès de producteurs à la recherche de compléments de financement nécessaires à la réalisation de leurs œuvres. La récupération de l’investissement se fait sur tous les couloirs de recettes disponibles, telles que les recettes télévisuelles France, les recettes salles, les recettes vidéo France ou les recettes des ventes internationales.

Enfin, après récupération de leur apport, les SOFICA perçoivent un pourcentage des recettes au prorata de l’investissement dans le budget du film.

Une partie des investissements réalisés dans cette activité est dédiée plus particulièrement au développement des œuvres. En amont de la production, l’activité de développement regroupe notamment les achats de droits (auteurs, adaptations), les frais d’écriture (rédaction d’un scénario définitif) et l’étude de faisabilité (réalisation d’un budget, pré-repérages et élaboration d’un dossier de présentation en vue d’en finaliser le financement). Une fois les projets montés, le producteur va rechercher les financements nécessaires à la réalisation de l’œuvre. Dès la mise en production du projet, l’investissement est remboursé.

Les SOFICA A Plus Image/SG IMAGE sont membres de l’Association de Représentation des SOFICA (ARS). Cette association a pour objectif d’assurer l’efficacité et la promotion du dispositif des SOFICA, de défendre les intérêts des intervenants auprès des pouvoirs publics et des producteurs. Lien site internet ARS : www.sofica-asso.com

Distribution

Trocadero Distribution a pour objet principal la distribution et la co-distribution d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles. Ces activités regroupent notamment l’achat de droits d’exploitation des œuvres produites et la mise en place d’une politique commerciale (nombre de copies, stratégie de lancement, promotion, etc).

Les performances passées ne doivent pas être l’élément central de la décision d’investissement du souscripteur.

Nous attirons votre attention sur le fait que l’objectif de performance est fondé sur la réalisation d’hypothèses de marché arrêtées par l’équipe en charge de la SOFICA et ne constitue en aucun cas une promesse de rendement ou de performance de cette dernière.
L’investissement dans le secteur du cinéma et de l’audiovisuel présente un risque de perte en capital.